De : Alan Bradley
Edition : MsK
Année : 2009
Pages : 368
4ème de couverture :
Edition : MsK
Année : 2009
Pages : 368
4ème de couverture :
Été 1950. Le paisible manoir de Buckshaw est agité par de surprenants événements. Un oiseau mort, timbre collé au bec, est retrouvé devant la porte de la cuisine, un cadavre fait son apparition au beau milieu d’un plant de concombres, et le maître de la famille, le colonel de Luce, n’est plus lui-même. Le plus mystérieux ? Quelqu’un a subtilisé un morceau de l’écœurante tarte à la crème de Mme Mullet.
Avec son œil affuté et son laboratoire de chimie, c’est Flavia, l’une des trois filles de Luce, qui va mener l’enquête dans le passé tourmenté de son père.
Mon avis
Je voulais le lire depuis un petit moment, à cause ou grâce à la couverture (décidément c'est un facteur d'achat compulsif lol) pour l'unique raison que la jeune fille dessinée me rappelle Mercredi Addams (voir ma comparaison ici).
De plus, la quatrième de couverture était prometteuse.
Il est difficile de dire si j'ai adoré car je m'interroge. J'ai beaucoup aimé certes mais j'ai eu une légère déception.
Je pensais l'histoire plus décalée.
Flavia est l'atout majeur du roman, elle est intelligente, effrontée et son gout pour le poison l'a rendu très amusante et intriguante.
La maturité qu'elle fait part pour son age l'a rend d'autant plus attachante, qu'elle n'a pas connue sa mère.
Ses soeurs Daphné et Ophélia en alliance contre leur soeur sont plutôt sympathiques, elles contrastent sensiblement avec Flavia.
La relation de notre héroïne avec son père est très émouvante, un respect sans montrer ses sentiments, j'ai adoré.
C'est la première fois que je lisais un thriller-jeunesse, j'avoue que pour une première fois ça a été plutôt agréable.
L'intrigue est bien ficelée, les personnages sont bien desservis dans leur rôle respectif : le majordome serviable, les sœurs tyranniques, l'enquêteur pas si méchant, l'ami gênant..
L'enquête en elle même est simple, mais comme toujours dans un thriller jeunesse il ne faut pas s'attendre à du Agatha Christie.
La philatélie n'est pas un domaine que j'apprécie particulièrement mais l'inclure dans une enquête m'a permis de l'apprécier davantage sans me convaincre que peut être certains de mes timbres valent des milliers d'euros.
Néanmoins, on passe un agréable moment dans l'Angleterre des années 50.
J'ai aimé m'imaginer la campagne anglaise, le manoir de Buckshaw.
De plus, la passion de l'héroïne d'Alan Bradley pour la chimie, m'a permis de m'intéresser à ce domaine que je considérais jusqu'à présent inaccessible et un atout pour le déroulement de l'enquête. Comme quoi, une passion peut être mis en pratique.
Je conseille cette lecture, avec une enquête simple mais comme souvent : efficace.
Avec son œil affuté et son laboratoire de chimie, c’est Flavia, l’une des trois filles de Luce, qui va mener l’enquête dans le passé tourmenté de son père.
Note : 16.5/20
Mon avis
Je voulais le lire depuis un petit moment, à cause ou grâce à la couverture (décidément c'est un facteur d'achat compulsif lol) pour l'unique raison que la jeune fille dessinée me rappelle Mercredi Addams (voir ma comparaison ici).
De plus, la quatrième de couverture était prometteuse.
Il est difficile de dire si j'ai adoré car je m'interroge. J'ai beaucoup aimé certes mais j'ai eu une légère déception.
Je pensais l'histoire plus décalée.
Flavia est l'atout majeur du roman, elle est intelligente, effrontée et son gout pour le poison l'a rendu très amusante et intriguante.
La maturité qu'elle fait part pour son age l'a rend d'autant plus attachante, qu'elle n'a pas connue sa mère.
Ses soeurs Daphné et Ophélia en alliance contre leur soeur sont plutôt sympathiques, elles contrastent sensiblement avec Flavia.
La relation de notre héroïne avec son père est très émouvante, un respect sans montrer ses sentiments, j'ai adoré.
C'est la première fois que je lisais un thriller-jeunesse, j'avoue que pour une première fois ça a été plutôt agréable.
L'intrigue est bien ficelée, les personnages sont bien desservis dans leur rôle respectif : le majordome serviable, les sœurs tyranniques, l'enquêteur pas si méchant, l'ami gênant..
L'enquête en elle même est simple, mais comme toujours dans un thriller jeunesse il ne faut pas s'attendre à du Agatha Christie.
La philatélie n'est pas un domaine que j'apprécie particulièrement mais l'inclure dans une enquête m'a permis de l'apprécier davantage sans me convaincre que peut être certains de mes timbres valent des milliers d'euros.
Néanmoins, on passe un agréable moment dans l'Angleterre des années 50.
J'ai aimé m'imaginer la campagne anglaise, le manoir de Buckshaw.
De plus, la passion de l'héroïne d'Alan Bradley pour la chimie, m'a permis de m'intéresser à ce domaine que je considérais jusqu'à présent inaccessible et un atout pour le déroulement de l'enquête. Comme quoi, une passion peut être mis en pratique.
Je conseille cette lecture, avec une enquête simple mais comme souvent : efficace.
Comme toujours avec Ophélia, les représailles ne se firent pas attendre. Contrairement à moi, ma soeur était une calculatrice persuadée que la vengeance était un plat qui se mangeait froid.
2 commentaires:
Il me tente toujours autant =D
Je t'envoie tout le 15 décembre alors ! Tu veux toujours que je te les pretent ??
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