De : Paul Cleave
Edition : Sonatine
Année : 2010
Pages : 422
4ème de couverture :
Edition : Sonatine
Année : 2010
Pages : 422
4ème de couverture :
Christchurch, Nouvelle-Zélande. Joe Middleton contrôle les moindres aspects de son existence. Célibataire, aux petits soins pour sa mère, il travaille comme homme de ménage au commissariat central de la ville. Ce qui lui permet d'être au fait des enquêtes criminelles en cours. En particulier celle relative au Boucher de Christchurch, un serial killer sanguinaire accusé d'avoir tué sept femmes dans des conditions atroces. Même si les modes opératoires sont semblables, Joe sait qu'une de ces femmes n'a pas été tuée par le Boucher de Christchurch. Il en est même certain, pour la simple raison qu'il est le Boucher de Christchurch. Contrarié par ce coup du sort, Joe décide de mener sa propre enquête afin de démasquer lui-même le plagiaire. Et, pourquoi pas, de lui faire endosser la responsabilité des autres meurtres. Variation sublime sur le thème du tueur en série, ce roman d'une originalité confondante transfigure tous les clichés du genre et révèle un nouvel auteur, dont on n'a pas fini d'entendre parler.
Mon avis
J'aime quand un roman me fait rire, j'aime quand un roman m'angoisse. Mais j'aime surtout quand l'auteur prend des risques.
Joe Middleton est un peu l'employé modèle mais c'est aussi le Dexter de la Nouvelle Zélande !
Joe travaille comme homme à tout faire au commissariat de sa ville, un peu simple d'esprit derrière cette façade se cache le tueur en série que le commissariat tarde à arrêter.
Tout va bien pour lui, les homicides se succèdent jusqu'au jour où un meurtre qu'il n'a pas commis lui est attribué. Son obsession est alors de le retrouver !
Joe est le personnage principal, il a vraiment le profil type d'un tueur : célibataire qui supporte juste la compagnie de ses deux poissons rouges, il obéit à une mère tyrannique et très possessive mais il est surtout intelligent et manipule avec habilitée.
Son dégout des humains mais sa sympathie à certains animaux est assez amusante, voir intriguante.
Sally, sa collègue de travail qui à pitié de lui est d'une naïveté sans borne, elle cherche toujours à aider Joe d'une manière ou d'une autre sans s'imaginer quoi que se soit. L'aide qu'elle cherche à apporter est lié au décès de son petit frère.
Les policiers, bien qu'omniprésent constituent juste le fond de l'histoire : le profil typique d'un flic moyen. Néanmoins, certains cachent des petits secrets... où est la limite du bon et du mauvais ?
La mère de Joe est comment le dire, insupportable ! Le portrait d'une mère couveuse qui veut que son fils devienne un type bien et qui aime faire culpabiliser les gens.
Mais l'histoire n'aurait pas de piquant, sans l'intervention d'un nouveau personnage : Mélissa. La jeune femme est une sociopathe qui voue un culte à la police.
Son personnage est affreux, mais il est bien inclus à l'histoire.
Ce roman n'est pas un coup de coeur mais j'ai passé de bons moments, le début m'a littéralement scotché, sa répartie et son humour noire donne au personnage un coté limite amical.
Son investigation est drôlement mené et j'ai eu plaisir à chercher l'imitateur avec lui. Le tueur se retrouve lui même victime.
Paul Cleave arrive à mêler policier, psychopathe et humour. Cette nouvelle manière d'aborder les thriller est sympathique. Au fil des pages, j'avais la sensation que tuer était de la routine pour Joe, jamais sans sa mallette.
Ca me donne presque envie de lire les aventures de Dexter !
Seul point négative, la couverture et mise en page qui ne mettent pas en valeur l'histoire.
De plus, l'histoire est vite résolue en fait malgré la longueur.
Note : 14/20
Mon avis
J'aime quand un roman me fait rire, j'aime quand un roman m'angoisse. Mais j'aime surtout quand l'auteur prend des risques.
Joe Middleton est un peu l'employé modèle mais c'est aussi le Dexter de la Nouvelle Zélande !
Joe travaille comme homme à tout faire au commissariat de sa ville, un peu simple d'esprit derrière cette façade se cache le tueur en série que le commissariat tarde à arrêter.
Tout va bien pour lui, les homicides se succèdent jusqu'au jour où un meurtre qu'il n'a pas commis lui est attribué. Son obsession est alors de le retrouver !
Joe est le personnage principal, il a vraiment le profil type d'un tueur : célibataire qui supporte juste la compagnie de ses deux poissons rouges, il obéit à une mère tyrannique et très possessive mais il est surtout intelligent et manipule avec habilitée.
Son dégout des humains mais sa sympathie à certains animaux est assez amusante, voir intriguante.
Sally, sa collègue de travail qui à pitié de lui est d'une naïveté sans borne, elle cherche toujours à aider Joe d'une manière ou d'une autre sans s'imaginer quoi que se soit. L'aide qu'elle cherche à apporter est lié au décès de son petit frère.
Les policiers, bien qu'omniprésent constituent juste le fond de l'histoire : le profil typique d'un flic moyen. Néanmoins, certains cachent des petits secrets... où est la limite du bon et du mauvais ?
La mère de Joe est comment le dire, insupportable ! Le portrait d'une mère couveuse qui veut que son fils devienne un type bien et qui aime faire culpabiliser les gens.
Mais l'histoire n'aurait pas de piquant, sans l'intervention d'un nouveau personnage : Mélissa. La jeune femme est une sociopathe qui voue un culte à la police.
Son personnage est affreux, mais il est bien inclus à l'histoire.
Ce roman n'est pas un coup de coeur mais j'ai passé de bons moments, le début m'a littéralement scotché, sa répartie et son humour noire donne au personnage un coté limite amical.
Son investigation est drôlement mené et j'ai eu plaisir à chercher l'imitateur avec lui. Le tueur se retrouve lui même victime.
Paul Cleave arrive à mêler policier, psychopathe et humour. Cette nouvelle manière d'aborder les thriller est sympathique. Au fil des pages, j'avais la sensation que tuer était de la routine pour Joe, jamais sans sa mallette.
Ca me donne presque envie de lire les aventures de Dexter !
Seul point négative, la couverture et mise en page qui ne mettent pas en valeur l'histoire.
De plus, l'histoire est vite résolue en fait malgré la longueur.
Christchurch, la nuit. Mon terrain de jeu. Où les gens qui vous haïssent vous appeleront quand même "mon pote".
5 commentaires:
C'est vrai que quand tu m'en parlais, il avait l'air bien mais bon je ne sais pas si je vais le lire...peut être plus tard !
Dès ta 3ème phrase, je savais que je le lirai !! XD
Je le note dans un tit coin de ma tête ^^
Ton avis me donne bien envie de le lire, et puis j'aime beaucoup les polars de cette maison d'édition !
J'en ai beaucoup entendu parler, après, j'ai beaucoup de lecture en ce moment, donc je ne le lirais pas tout de suite !
Rien à voir, ta bannière me donne très très envie de revoir N'oublie jamais, je suis cuite, allez, je vais le re re re revoir !
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