De : J. D. Salinger
Edition : Pocket
Année : 2010
Pages : 252
4ème de couverture :
Edition : Pocket
Année : 2010
Pages : 252
4ème de couverture :
Phénomène littéraire sans équivalent depuis les années 50, J. D. Salinger reste le plus mystérieux des écrivains contemporains, et son chef-d'oeuvre, " L'attrape-coeurs ", roman de l'adolescence le plus lu du monde entier, est l'histoire d'une fugue, celle d'un garçon de la bourgeoisie new-yorkaise chassé de son collège trois jours avant Noël, qui n'ose pas rentrer chez lui et affronter ses parents. Trois jours de vagabondage et d'aventures cocasses, sordides ou émouvantes, d'incertitude et d'anxiété, à la recherche de soi-même et des autres. L'histoire éternelle d'un gosse perdu qui cherche des raisons de vivre dans un monde hostile et corrompu.
Mon avis
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Challenge ? New York,
Note : 20/20
Mon avis
Seul, être seul. Un monde étranger dans lequel chaque homme cherche à mener sa vie – sans difficultés et selon ses volontés. Où est le mal d'être seul ?
Salinger nous offre avec un peu plus de cent pages, la quête d'un jeune – Holden Caulfield.
Holden est un jeune homme qui se cherche, les études le poursuit comme il poursuit l'amour ou un sentiment proche, voir semblable.
Blessé par les épreuves de la vie – trop jeune pour souffrir ? Il est comme un building qui se construit, avec des matériaux manquants mais un regard sur le lointain.
La spontanéité de Phoebé la jeune soeur apporte un peu de couleur au récit. Elle comprend son frère et un lien unique et tendre est tissé entre eux.
Malgré son coté égoïste, je-m'en-foutiste de Holden, il montre un coté paternel avec sa jeune soeur – émouvant.
Mais le moment qui m'a le plus ému est dans l'évocation d'Allie, le petit frère. J'ai trouvé ces instants très riche en émotion et il explique en partie la proximité Holden entretient avec sa soeur et son insociabilité latente.
Une errance dans New York, des questions à régler. Mais la vie continue malgré les différences.
Comment dire à sa famille qu'il ne va plus en cours ?
Comment être honnête et franc avec les filles alors qu'on y ignore ce qu'on fera demain ?
Avoir une pression sur les épaules – être la relève du grand frère prodige qui est écrivain pour Hollywood, alors que l'on déteste le cinéma ?
Holden Caulfield n'aime rien, ne donne rien mais sa franchise et sa fraternité témoigne d'un adolescent qui se cherche et qui tente d'atténuer le chagrin de la disparition.
Trois jours dans la vie d'un new yorkais à la veille de Noël, c'est court mais cela suffit pour faire un chef d'œuvre.
Un roman qui m'a conquis, qui me donne la chaire de poule, la larme à l'oeil.
J.D Salinger ne conclut pas son roman, qu'est il devenu ? Libre au lecteur de s'inventer un futur. Une quête d'identité dans un New York solidaire.
Salinger nous offre avec un peu plus de cent pages, la quête d'un jeune – Holden Caulfield.
Holden est un jeune homme qui se cherche, les études le poursuit comme il poursuit l'amour ou un sentiment proche, voir semblable.
Blessé par les épreuves de la vie – trop jeune pour souffrir ? Il est comme un building qui se construit, avec des matériaux manquants mais un regard sur le lointain.
La spontanéité de Phoebé la jeune soeur apporte un peu de couleur au récit. Elle comprend son frère et un lien unique et tendre est tissé entre eux.
Malgré son coté égoïste, je-m'en-foutiste de Holden, il montre un coté paternel avec sa jeune soeur – émouvant.
Mais le moment qui m'a le plus ému est dans l'évocation d'Allie, le petit frère. J'ai trouvé ces instants très riche en émotion et il explique en partie la proximité Holden entretient avec sa soeur et son insociabilité latente.
Une errance dans New York, des questions à régler. Mais la vie continue malgré les différences.
Comment dire à sa famille qu'il ne va plus en cours ?
Comment être honnête et franc avec les filles alors qu'on y ignore ce qu'on fera demain ?
Avoir une pression sur les épaules – être la relève du grand frère prodige qui est écrivain pour Hollywood, alors que l'on déteste le cinéma ?
Holden Caulfield n'aime rien, ne donne rien mais sa franchise et sa fraternité témoigne d'un adolescent qui se cherche et qui tente d'atténuer le chagrin de la disparition.
Trois jours dans la vie d'un new yorkais à la veille de Noël, c'est court mais cela suffit pour faire un chef d'œuvre.
Un roman qui m'a conquis, qui me donne la chaire de poule, la larme à l'oeil.
J.D Salinger ne conclut pas son roman, qu'est il devenu ? Libre au lecteur de s'inventer un futur. Une quête d'identité dans un New York solidaire.
J'espère que lorsque je mourrai, quelqu'un aura le bon sens de me jeter dans une rivière. N'importe quoi plutôt que le cimetière. Avec des gens qui viennent le dimanche vous poser un bouquet de fleurs sur le ventre et toutes ces conneries. Est-ce qu'on a besoin de fleurs quand on est mort?
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Challenge ? New York,
8 commentaires:
Ton billet me convainc qu'il faut que je le relise !
Et au passage je suis complètement fan de ton nouveau layout !!!
Je ne l'ai jamais lu mais à chaque fois que je vois un article dessus, je me dis qu'il faudrait que je le lise. Cependant, une fois à la librairie, j'oublie purement et simplement de le prendre.
Il fera partie de mes prochains achats ! J'ai hate de le lire maintenant ^^
Comme je le disais dans ton suivi je n'ai pas aimé ce roman. En plus de ne pas avoir aimé le langage, je n'ai pas spécialement aimé l'histoire. Je me suis souvent ennuyée... Je crois que je n'ai vraiment pas de chance avec les classiques américains -_-' Je suis très souvent déçue avec ces derniers.
Bonne fin de journée.
Biz biz.
J'avais aimé aussi mais je n'aurais pas mis la note de 20, je l'avais trouvé un peu long et le fait qu'on ne sache pas ce que le personnage devient m'avait un peu dérangé !
Je l'avais lu l'année dernière, enfin je l'avais commencé mais c'était pendant une période où j'avais commencé à travailler du coup j'avais laissé tombé ... Mais je pense le reprendre un jour ...
Je ne me souviens plus très bien de ce livre mais je sais qu'il m'avait beaucoup plu parce qu'il parlait très justement de la recherche d'identité d'une personne. J'avais pas trop aimé le personnage par contre.
Une oeuvre authentique, je veux dire qui sonne constamment juste. Même si les situations, les réactions ont vieilli, le talent exceptionnel du narrateur, son ironie féroce et roborative donnent l'impression d'être éternels. Un chef-d'oeuvre, bien sûr. Emouvant!
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